A cinq jours de la remise au Président de la République du rapport Gallois sur la compétitivité des entreprises
françaises, la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME) pousse ses propositions. Le rapport que l’ex-patron d’EADS doit livrer le 5 novembre prochain doit préconiser des solutions pour doper les PME à l’export. Sans attendre ses conclusions , la CGPME propose vingt mesures pour « dynamiser les
exportations françaises« .
Dans un communiqué publié le 30 octobre, l’organisation patronale insiste sur l’urgente nécessité qu’il y a à appréhender l’entreprise « dans sa globalité avec notamment une fiscalité plus incitative, une
baisse du coût du travail et une amélioration des relations grands groupes /
PME ».
Parmi les mesures phare, figurent la mise en place d’un
statut de la Jeune
Entreprise Exportatrice (JEE), l’exonération d’impôt sur les sociétés pour les trois
premiers exercices bénéficiaires à l’exportation, l’intégration de la
rémunération d’un salarié dédié à l’export en France dans le champ des dépenses
éligibles au crédit impôt export et la création d’un contrat de génération entre
entreprises.
A suivre…
Sylvette Figari
Pour connaître les vingt mesures proposées par la CGPME, cliquer ici
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