Dans ses derniers jours à la présidence de l’OSCI, Etienne Vauchez (notre photo) n’a pas manqué de participer, une dernière fois, au Comité stratégique de l’export (CSE) convoqué par Jean-Yves Le Drian le 12 décembre au Quai d’Orsay. En présence de Chloé Berndt, qui lui succédera le 10 janvier à la tête de cette fédération des sociétés privées d’accompagnement et de commerce international, dans le cadre d’une coprésidence avec Hervé Druart.
A l’heure du bilan de la réforme de la stratégie pour le commerce extérieur, c’était l’occasion d’y faire passer un dernier message un peu dissonant dans l’atmosphère d’autosatisfaction qui a semble-t-il marqué cette réunion, remarqué selon certains participants : la Team France export (TFE) est en place, mais c’est aux Régions de choisir à présent si elles veulent travailler avec un seul ou plusieurs correspondants à l’étranger, public ou privé. Comme en Bretagne, chère au ministre de l’Europe et des affaires étrangères, et qui est un modèle du genre pour Etienne Vauchez.
Sinon, il n’y a aucune chance, selon lui, d’atteindre l’objectif de faire passer le nombre d’exportateurs de 125 000 à 200 000 sous le quinquennat, fixé par l’ancien président de la Région Bretagne.
TFE : l’heure est à la « coopération et à l’articulation » avec le privé
L’intéressé, qui n’en est pas à sa première alerte en la matière*, s’en explique dans un entretien bilan accordé au Moci…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 353
diffusée le 19 décembre 2019 auprès de ses abonnés
Pour lire la suite, cliquez ICI
Pour consulter gratuitement le sommaire de la dernière Lettre, cliquez ICI