La réduction du millefeuille de l’accompagnement à l’export reste un sujet sensible dans un écosystème qui n’a plus de ministre du Commerce extérieur depuis que Matthias Fekl a été promu à l’Intérieur, le 21 mars, et qui est aux abois face aux contre-performances des exportations françaises en 2016. L’idée d’une fusion entre certaines activités de Business France et celles des Chambres de commerce et d’industrie (CCI) s’est ainsi invitée dans les débats de campagne pour la présidentielle, comme si les efforts menés jusqu’à présent pour rapprocher ces acteurs de l’accompagnement export avaient été vains.
Le 20 mars, lors d’une ‘Matinale’ du Medef consacrée aux programmes de trois des principaux candidats sur l’international, c’est Frédéric Sanchez, président du pôle Internationalisation et filières du Medef et de Medef International, qui a mis les pieds dans le plat : « A l’étranger, il faut simplifier le millefeuille : pourquoi Business France créée-t-elle des bureaux quand existe déjà une CCI française ? », a-t-il lancé aux trois sherpas des candidats François Fillon, Emmanuel Macron et Benoît Hamon, respectivement Eric Woerth, Jean Arthuis et Emmanuel Maurel*. Sans réponse précise de leur part…
Le 20 mars, lors d’une ‘Matinale’ du Medef consacrée aux programmes de trois des principaux candidats sur l’international, c’est Frédéric Sanchez, président du pôle Internationalisation et filières du Medef et de Medef International, qui a mis les pieds dans le plat : « A l’étranger, il faut simplifier le millefeuille : pourquoi Business France créée-t-elle des bureaux quand existe déjà une CCI française ? », a-t-il lancé aux trois sherpas des candidats François Fillon, Emmanuel Macron et Benoît Hamon, respectivement Eric Woerth, Jean Arthuis et Emmanuel Maurel*. Sans réponse précise de leur part…