Depuis des années en France, on se répand sur le déficit devenu chronique du commerce extérieur de la France. Tout a été dit sur le manque de moyens, lié à leur taille, et l’insuffisante culture à l’international des PME tricolores, qui freinent leur expansion à l’export. Mais que dire de la responsabilité d’un État, qui applique une réforme profonde aux opérateurs du soutien au commerce extérieur – celle-ci a été annoncée par Édouard Philippe le 23 février à Roubaix* – sans lui-même mener à son terme sa propre réforme en matière de gouvernance, le Commerce extérieur restant partagé entre deux ministères principaux, le ministère de l’Europe et des affaires étrangères (MEAE) et celui de l’Economie et des finances, sans même un titulaire qui incarne la fonction de façon claire ?…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 281
diffusée le 26 avril 2018 auprès de ses abonnés
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