Des associations européennes et nationales d’entreprises ont
incité le 26 janvier le Parlement européen à les rejoindre dans leur lutte anti-contrefaçon et piraterie, rapporte un communiqué d’Eurochambres, association européenne des Chambres de commerce et d’industrie. Des représentants de
l’Union européenne (UE) et des 22 Etats membres ont signé ce jour l’Accord
commercial anti-contrefaçon (ACTA) à Tokyo (Japon), montrant que l’UE se bat
pour améliorer la protection de la propriété intellectuelle et de l’innovation.
Il reste au Parlement à approuver l’accord. Les partenaires commerciaux
d’Australie, Canada, Japon, Corée du Sud, Maroc, Nouvelle Zélande, Singapour et
Etats-Unis avaient signé l’accord en octobre 2011. Parmi les pays à l’origine
des négociations, il reste encore au Mexique et à la Suisse à le signer. « ACTA
protégera les créateurs et innovateurs européennes, génèrera et préservera des
emplois, stimulera la compétitivité économique et la croissance et favorisera
le commercial international, » a déclaré le directeur de l’Association internationale
des marques (Inta). ACTA a été négocié par 37 pays et l’UE afin d’améliorer le
réseau international de lutte anti-contrefaçon et de piraterie.
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