« C’est une femme sacrément difficile » a récemment confié à la presse britannique le député conservateur Ken Clarke à propos de Theresa May (notre photo) qui a succédé, mercredi 13 juillet à David Cameron au 10 Downing Street. Et à Bruxelles, la réputation de celle qu’on appelle déjà la nouvelle « dame de fer » est bien connue dans les couloirs du Conseil. Qu’en attendre ? Le point avec les meilleures sources à Bruxelles.
La nouvelle Première ministre, ancienne ministre de l’Intérieur du Royaume-Uni, fréquente depuis six ans déjà les réunions avec ses homologues européens où elle est décrite comme une femme « pragmatique », « dure en négociations », selon un diplomate. Mais cette expérience lui donne un avantage non négligeable car elle connaît bien le fonctionnement des institutions européennes. « Elle est tout à fait consciente de ses complexités, ce qui constitue un avantage tant pour son pays que pour l’Union à 27 », commente un autre diplomate précisant que Theresa May était de loin le choix préféré des dirigeants européens parmi les candidats potentiels au poste de Premier ministre…
diffusée le 14 juillet 2016 auprès de ses abonnés
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