François Hollande, président de la République : « Nous avons voulu aussi évoquer d’autres sujets et notamment signer des accords ; accord culturels, scientifiques, techniques mais également un accord de développement avec l’AFD qui va mettre des moyens nouveaux. Je rappelle que l’Agence française de développement a comme premier bénéficiaire de ses soutiens et de ses prêts le Nigeria. Il y a aussi de nombreuses décisions et investissements pris par les entreprises nigérianes et françaises et ici au Nigeria des entreprises comme Total, Peugeot, Alstom, Thales, Airbus, et j’en oublie beaucoup, ont la ferme intention d’amplifier encore leurs investissements. Nous avons aussi signé un accord en matière agricole et de nutrition, parce que nous savons les besoins du Nigeria mais aussi la capacité qu’ont les exploitations françaises de pouvoir y répondre ».
Extrait de son discours prononcé à Abuja lors de la conférence de presse conjointe avec Muhammadu Buhari, président de la République fédérale du Nigeria.
Hervé de Charette, président de la Chambre de commerce franco-arabe (CCFA) : « Nos relations politiques sont courtoises, mais nos relations économiques sont très éloignées du niveau de nos relations politiques. Avec une part de marché de 1,62 %, nous nous positionnons [la France] au 14ème rang des fournisseurs du sultanat d’Oman. La part de marché des Allemands est de 3,23 %. Nous voulons renforcer notre présence dans la vie économique omanaise, doubler notre part de marché pour nous mettre au niveau de l’Allemagne ».
Extrait de son discours d’ouverture du séminaire sur les opportunités et les investissements au sultanat d’Oman, organisé à Paris, le 12 mai, par la Chambre de commerce franco-arabe (CCFA) en coopération avec l’Autorité publique pour la promotion de l’investissement et le développement de l’export du sultanat (ITHRAA).