L’annonce de la suspension de l’octroi de crédits export au groupe Airbus par les trois agences britannique, française et allemande est une mauvaise nouvelle pour l’avionneur européen, qui va devoir, au moins pour un temps, se passer des garanties publiques pour fournir des financements à ses clients qui le demandent. Au prix d’une plus grande prise de risque à l’export ? Quoiqu’il en soit, comme le livre à la Lettre confidentielle Jean-Claude Asfour, spécialiste des risques export, le constructeur aéronautique européen subit aussi le contrecoup d’un durcissement des règles anti-corruption à l’export outre-Manche, sur lequel ont du s’aligner la France et l’Allemagne…
diffusée le 14 avril 2016 auprès de ses abonnés
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