Edward Alden, expert au Council on Foreign Relations (Etats-Unis) : « Il y a beaucoup de gens qui n’ont pas profité de la mondialisation et qui montrent dans cette élection à quel point ils sont en colère ».
Cité par un article de l’Agence France Presse (AFP) intitulé « Le libre-échange, nouvel épouvantail politique aux Etats-Unis« , qui décrit la méfiance, voire l’hostilité que montrent les candidats de tous bords à la présidentielle américaine au libre-échange.
Matteo Renzi, président du Conseil italien : « Si on veut vraiment faire repartir ce pays, l’Allemagne et d’autres pays doivent réduire leurs excédents commerciaux, aujourd’hui à 7,6% (du PIB) en Allemagne ».
Cité par une dépêche de Reuters du 16 mars reprise par lesechos.fr, alors que le chef du gouvernement s’adressait au Parlement de son pays avant un Sommet européen à Bruxelles. Réclamant l’aide de ses voisins pour stimuler son économie, il a souhaité que l’Allemagne ramène son excédent commercial à 6 % du PIB pour accélérer la croissance de la consommation.