Matthias Fekl, secrétaire d’État au Commerce extérieur : « L’Europe a multiplié les offres, sur tous les sujets, et n’a reçu en contrepartie aucune offre sérieuse des Américains. Ni pour l’accès à leurs marchés publics, ni pour l’accès aux marchés agricoles et agroalimentaires qui restent fermés ».
Extrait d’un entretien au quotidien régional Sud-Ouest, dans lequel le secrétaire d’État français au Commerce extérieur, à la promotion du tourisme et aux Français de l’étranger dénonçant le manque de transparence et d’avancée des négociations du projet de Partenariat Transatlantique (TTIP/Transatlantic Trade and Investment Partnership). Lire dans la LC d’aujourd’hui : UE/Etats-Unis : les inquiétudes de M. Fekl sur les négociations du TTIP partagées à Bruxelles et en accès gratuit sur notre site : UE/Etats-Unis : Matthias Fekl brandit la menace d’un retrait des négociations du TTIP
Pierre Gattaz, président du Medef : « Nous partons au Nigeria parce que nous espérons faire du développement durable. Et je suis bien placé, issu d’une entreprise familiale, pour savoir ce qu’est le développement durable. L’Afrique a encore plus besoin de développement durable et nous devons leur apporter des infrastructures, des métiers, de la formation, du talent. Nous ne partons certainement pas au Nigeria pour faire un coup ».
Propos tenus par le patron des patrons français, le 9 septembre lors d’un déjeuner de presse au Medef, portant sur la prochaine mission de l’organisation des employeurs au Nigeria du 4 au 8 octobre. Lire dans la LC d’aujourd’hui :
Amandine Lama, chargée d’études chez Ipsos : « Ce sont autant des femmes que des hommes qui consomment du vin bio régulièrement, alors que pour le total de vins elles ne sont que 46,8 % des consommateurs réguliers. Elles sont même majoritaires dans trois des quatre pays que nous avons choisis dans notre étude, à savoir Allemagne, Royaume-Unis, Suède. Il n’y a qu’en France où le déséquilibre persiste et est fort, puisqu’elles ne sont que 46,3 % à boire régulièrement du bio. Pour l’ensemble du vin, le chiffre est évidemment encore plus faible, avec 44,3 % ».
Propos tenus, le 29 septembre, à l’occasion de la présentation d’une étude de l’institut de sondage par sa responsable, pour le compte de l’association Sudvinbio. Lire à ce sujet en accès gratuit sur notre site : Vin/International : le prix, principal handicap à l’émergence du bio en Europe