« Pendant les travaux, le magasin reste ouvert ». Interrogé par La Lettre confidentielle du Moci (LC) sur l’état d’avancement du volet international de la Banque publique d’investissement – dont le nom officiel est BPI France-, Alain Renck, directeur international d’Oséo, devenu une filiale de BPI France, se veut rassurant. L’ensemble des soutiens publics proposés aux exportateurs continuent à être distribués par Oséo, Coface ou Ubifrance, a-t-il assuré, alors que la nouvelle institution censée les rassembler sous un même toit est encore en cours de construction, au plan opérationnel, tant à son siège parisien que dans ses bureaux en régions. Ceux-ci seront installés, dans un premier temps, dans les directions régionales d’Oséo. En l’occurrence, Alain Renck est l’homme de l’export du moment chez BPI France : c’est vers lui que renvoie, en ce début de mois de janvier, le surchargé Nicolas Dufourcq (qui conduit la mission de préfiguration de la BPI à la demande du gouvernement) lorsqu’on le sollicite sur le volet international de la BPI.