Libération a révélé mardi 5 janvier que le gouvernement irakien réclamait 10 milliards de dollars à 93 sociétés étrangères (dont BNP Paribas et Renault) convoquées devant le tribunal de New York pour avoir violé le programme « pétrole contre nourriture » entre 1997 et 2003. Selon le quotidien, BNP Paribas « occupait une place à part dans ce système en qualité de banquier du programme ».