La manne pétrolière a permis à l’Angola de rembourser, en 2010, ses dettes et ses intérêts de retard à ses créanciers du Club de Paris, améliorant ainsi son indice de solvabilité, indique l´assureur-crédit SA Ducroire dans une note de conjoncture du 13 juillet. En effet, le redressement économique mondial et la hausse des prix internationaux du pétrole à un niveau de 75 à 80 dollars par baril ont permis une reprise de la croissance en 2010. Toutefois, précise Ducroire, les retards de paiement peuvent réapparaître dans ce pays fortement dépendant au secteur pétrolier.