C´est l´incertitude politique qui explique la mise sous surveillance de la Tunisie avec perspective abaissée de stable à négative, explique l´agence de notation Fitch, dans une note de justification, rapporte, le 2 février, africanmanager.com. L´agence avertit, d´ailleurs, qu´elle pourrait être amenée à rétrograder la Tunisie dans le futur si les troubles reprenaient. La croissance économique, selon elle, devrait tomber à 2 % cette année, malgré le retour à la normale de l´activité.