Cet article a fait l’objet d’une Alerte diffusée le 3 juillet aux abonnés de la Lettre confidentielle.
Qualifié « d’historique » par les uns, il fait figure de bête noire pour les autres. L’accord commercial entre l’Union européenne (UE) et le Mercosur signé le 28 juin, après deux décennies de laborieuses négociations, a eu droit à un accueil contrasté au sein du bloc européen, alors que la Commission européenne met en avant les bénéfices de part et d’autre d’un texte dont le contenu n’est pas encore rendu public dans le détail.
Salué par le patronat européen, la conclusion du traité commercial représente une véritable aubaine pour les constructeurs automobiles « qui pourront tirer profit de la réduction des droits de douane dans les pays du Mercosur », aujourd’hui fixés à 35 %, souligne un communiqué de l’ACEA, l’association qui représente les intérêts du secteur en Europe.
Mais l’ouverture du marché des quatre pays sud-américains (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) aux biens industriels « Made in EU » ne se fera pas sans contreparties dans le secteur agricole…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 335
diffusée le 4 juillet 2019 auprès de ses abonnés
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