« L’UE est condamnée à l’immobilisme », se félicite-t-on dans les cercles eurosceptiques. Si le constat est amer –et résolument simpliste–, il est hélas difficile à contredire aux vues des maigres avancées réalisées à l’issue du dernier sommet des chefs d’État et de gouvernement, à Bruxelles les 20 et 21 octobre. Divisés sur les réponses à apporter à la crise migratoire, incapables de garantir la ratification du CETA*, les 28 ont aussi échoué à parler d’une seule voix sur le dossier syrien et sur l’attitude à adopter face à la Russie !
La veille de la réunion, Paris, Berlin et Londres étaient pourtant parvenus à modifier le projet de conclusions en brandissant la menace de nouvelles sanctions à l’encontre des « personnalités et entités soupçonnées de soutenir le régime de Damas »…
Ceci est un extrait de la Lettre confidentielle du MOCI n° 211
diffusée le 27 octobre 2016 auprès de ses abonnés
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