Avec mon client coréen, on a discuté d’un autre projet. Il y a quelques années, j’avais produit des petites chaises pour enfants. Cette série avait bien marché en France et mon client en avait vu un exemple sur le site de l’entreprise.
Alors, il m’a appelé pour me dire qu’il voudrait bien produire cette chaise pour le marché coréen et que, si j’avais encore le moule, il pourrait l’utiliser. Je recevrais des royalties.
Le moule existait encore et était en très bon état, il n’avait même pas produit la moitié du nombre de chaises pour lequel il avait été prévu. Il y avait de la marge.
On s’est mis d’accord pour les conditions et j’ai dû lui envoyer le moule. Après en avoir discuté, nous avons décidé que je lui enverrai par avion. En fait, c’est surtout après en avoir discuté avec Michel que j’ai été d’accord. Il m’a dit que, maintenant que j’envoyais des conteneurs maritimes toutes les deux semaines, je pouvais changer un peu de jeu et passer à l’aérien.
Pour le commissionnaire de transport, j’allais demander à celui avec lequel j’envoie des conteneurs. Il m’a bien conseillé et j’ai compris tout ce qu’il m’a dit.
Oui mais… qu’allais-je faire de la règle Incoterm ICC 2010 ?